En cette semaine de la qualité de l’air, les données collectées pendant cinq ans par les capteurs Pollutrack, qui équipent des véhicules électriques d’Enedis et de DPD/Geopost, ont été compilées par le CNRS. Elles mettent en exergue une trop forte concentration de particules fines dans la Capitale, mais aussi leur très inégale répartition géographique.
Article complet (Fr) : Le Journal du Grand Paris