Officiellement, Paris et l’Ile-de-France n’ont connu qu’un seul épisode de pollution cet hiver. Selon les relevés d’Airparif, l’organisme chargé de la surveillance de la qualité de l’air, il s’est produit le 8 février avec un pic de particules fines dites PM10 (de diamètre compris entre 2,5 µm et 10 µm) à 62 µg/m3, soit au-dessus du seuil d’alerte de 50 µg/m3 sur vingt-quatre heures.
Pourtant, Paris a été touchée par plusieurs épisodes persistants de pollution aux particules fines PM2,5 (inférieures à 2,5 µm) entre novembre 2017 et janvier 2018. Mais à la différence des PM10, du dioxyde d’azote, de l’ozone et du dioxyde de soufre, des concentrations excessives en PM2,5 ne déclenchent pas de procédures d’alerte.
Article complet (Fr) : Le Monde